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Dressage surprise 1ere partie

 

Ce matin la, je sort de chez moi comme à mon habitude, et comme d'habitude il est la.

Il, mon voisin 40 ans, beau brun au yeux noir, avec ca petite barbichette,certes il me fait craqué mais il est toujours a roder pres de la maison.Je le trouve louche.

 

Apres une journée compliquée, je rentre chargé de plein de courses, étant de petite taille je croule litteralement sous les paquets.

 

« attends je vais t'aider ». mon voisin se propose si gentillement, mais que fait-il encore ici ne travail-il pas ?

 

« merci c'est gentil » dit-je avec un sourire en voulant refermer la porte.

 

Mais sont pied m'en empêchât. Il fit irruption dans la piece.

 

 

« il fait un peut chaud dehors, je peut avoir un verre d'eau ?»

 

 

non mais quel culot celui-ci. Bon souri. Sert le et il partira.

 

Je commence a remplir sont verre devant l'évier quand soudain son souffle dans mon cou me fait sursauté et lâcher le verre qui sa brise au fond de l'évier.

 

Je ne respire plus, je sens son souffle dans ma nuque et cela me glace le sang.

Dans un élan de courage je me retourne et croise sont regard noir qui est devenu glacial.

 

« Pardon,je vais nettoyer » je ne sais pas se qui m'a pousser à m'excuser je suis quand même chez moi. Je me décale donc pour aller chercher un autre verre mais il m’attrape le bras et me rapproche de lui, d'une force qu'il me soulève presque du sols.

 

« ATTENTION !tu est si maladroite , regarde il y en as part terre ! »

 

effectivement du verre a sauté partout dans la cuisine, mais cela m’embête de le ramasser j'ai une jupe courte et si je me baisse elle découvrira mes cuisses.

 

« Ramasses-les »

 

« Je les ramasserais plus tard je doit de toute facon faire mon ménage, désolé pour le verre d'eau, nous nous voyons se soir au repas des voisins !? » j'aimerais qu'il parte, il me trouble d’ailleurs il ne ma pas lâcher, je suis contre sont torse musclé et chaud sa main me tient fermement il sent bon, ce doit être...

 

il me coupe dans ma rêverie quand il déclare d'un ton autoritaire

 

« Ramasses-les, je n'aime pas répéter »

 

il me jette presque au sol. Bien obliger de coopérer je commence a ramasser les morceaux que je jette a la poubelle.

 

Il se tient dans l'encadrement de la porte me laissant enfin un peut d'espace. Je sens pourtant sons regard sur moi, en effet ma jupe comme je le craignait remonte presque en haut de mes cuisses.

 

Au moment de me relevée il appui sa main sur mon épaule il est la devant moi, grand et fort, il a déboutonner sont pantalon, me présentant sont sexe.

 

« Non mais il tu te prend pour qui ! SORT DE CHEZ MOI ! » ma voix fus plus paniquer que je ne le voulais.

 

Il me mis un gifle me poussa contre le meuble et mis un doigt dans ma bouche,

 

« OUVRE »

 

je mimais non de la tête en prenant un air fâchée, j'avais peur.

 

Après un petit coup de pied léger dans les jambe il réitéra :

 

« Ouvre, je t'ai dit que je n'aimais pas répéter les choses »

 

j’essaya plus ou moins d'articuler un « non ».

 

sont regard s’assombrit encore plus, il enleva sont doigt, et se retourna, fit quelques pas en direction de la porte.

 

Enfin il a compris il va partir.

 

Il verrouilla la porte.

 

J'étais encore la assise au sol la jupe au sommet des cuisses car j'avais eu ce réflexe stupide de relever les jambes contre moi.

 

Sous le choque, je l'ai regarder tirer une chaise et s’asseoir.

 

« vient ici »

 

Ce nouvel ordre me saisis, Je ne suis pas un chien, je ne suis pas à lui,en colere je me leve et crie en avançant vers lui d'un pas decider.

 

« Sort de chez moi !!! »

 

Il me regarde de haut en bas sans bouger

 

« SORT DE CHEZ MOI !! J'appell...

 

Sans rien avoir compris il m'a attrapé par le bras et jeter sur ses genou.

 

Il entreprend de relever ma jupe avec précautions.

 

« Que...

 

« TAIT TOI, je n'aime pas répéter je te l'ai déjà dit ! Maintenant je vais te punir »

 

punir ??!!

 

Même pas le temps de penser qu'il me met une tape sur la fesse droite.

Sous le coup je pousse un petit cri de surprise. Il m'attrape les cheveux, tire ma tête vers l’arrière

et me chuchote « je en veux pas t'entendre, pas un mot pas un son... compris ?! »

 

« oui »

 

Il me mit une tape beaucoup plus fort que la première j'ai eu du mal a ne pas gémir de douleur

 

« compris ?!! » je hoche la tête en signe de conciliation.

Pour être sur de mon silence il retire mon string, je l'entend le porter a son nez, puis me le coince dans la bouche.

 

Il entama donc de me mettre une fessée, « tu va être à moi aujourd'hui » une claque sur chaque fesse, « tu fera se que je te dit » chaque claque n’était pas douloureuse en soit mais la cadence des coup répéter «  sinon je te punirai » et incessant m'ont rendu les fesses rouges et j'ai mal j'aimerais qu'il arrête, les larmes me montes.  « Ne pleurs pas, c'est de ta faute si je doit faire cela, je n'aime pas répéter ne te l'ai-je pas déjà dit !? ». Les coup tombes de plus en plus fort, j'ai mal, je me sens bête allongé sur ses jambes comme une enfant, je ne peut plus retenir mes larmes qui ruisselle sur mes joues et tombent avec un petit 'plop' au sol.

 

« Ne pleure pas je t'ai dit, regarde, leve toi ! »

 

je m’exécute tant bien que mal, mes fesses me lance.

 

« vient » il me prend par la main et m'enmene jusqu'au miroir dans ma chambre, miroir qui est a l’intérieur d'une porte de placard. Comment sait-il qu'il se trouve la ? Il n'est jamais rentrer chez moi ! Ah moins que...

 

« Regarde, elles sont toutes rouge ! Et ce beau visage plein de larme » il retire le string de ma bouche et sort de sa poche un mouchoir en tissus et entreprend de nettoyer mon mascara qui a couler.

 

Comment peut-il être si violent et si doux l'instant d’après ? Pendant un instant je me sens en sécurité, debout face à cette homme agenouillé devant moi. Je ne sais plus quoi faire, je souhaite partir mais il est du coté de la porte il me rattrapera avant que je soit sortie et puis de toute façon il a mis les clefs dans sa poche.

 

La fenêtre ! Oui la fenetre est restée ouverte, peut etre que si ??!

 

je lui lance un coup de pied entre les jambes et il s'écroule au sol, je cours a la fenêtre. Trop tard, je n'ai pas du taper assez fort, il m'attrape par les cheveux me traine jusqu'à lit.

 

Il se jette sur moi, me voici coincé sous cette masse de muscle, en colère, sont souffle roque est court, il reprend sa respiration blotti dans mon cou.

 

Son souffle soudain change, il me hume, réajuste sont corps contre le mien pour s'assurer que je ne puisse pas lui donné a nouveau un coup.Je ne peut plus bouger.

 

Il lève la tête me regarde d'un air méprisant.

 

Il leve ca main, je ferme les yeux il va me frapper.

 

Curieusement le temps s’arrête, ça main ne s'abat pas sur moi. Mais au lieu de ca il me caresse doucement le visage. Lorsque j'ouvre enfin les yeux il me regarde attrape mon cou et sert,sert, je ne peut respirer que lorsque qu'il dessert l’étreinte. Il s'amuse un moment et déclare.

 

« Tu est à moi ! Et je ne t'ai pas deja dit – il dessert ma gorge – que...

« tu n'aime pas repeter - je le coupe, difficilement la gorge me pique et les mots on du mal a sortir - pardon »

 

« pardon ? Il n'y a pas de pardon que de la redomption. Tu sera puni ! »

 

Il m'explique alors que je doit m’allonger sur le ventre, les jambes tombant sur le rebord du lit.

Il place un coussin sous mon bas ventre, mes fesses sont donc bien relevé, ma mini jupe ne couvre plus rien.

 

« Ne bouge pas ! »

 

il sort de la piece, je l'entend farfouiller dans les tiroir et il revient.

 

Je sens quelque choses de froid le long de mes cuisses, il s'empare de ma jupe et la découpe, il était aller cher chercher les ciseaux.Il découpe également mon chemisier.

 

Je l'entend enlever sa ceinture « tu va compter »

 

le premier coup de ceinture est si violent que je ne peut sortir aucun mots.

 

« j'attends »

 

« un » le son siffle dans mes lèvres

 

 

« deux »

 

« trois » Je ne peut retenir mes larmes

 

« pardon, pardon je ne le referait plus »

 

« Je sais. Nous irons jusqu'à 8 »

 

« Quatre » j'ai vraiment du mal à parler, la douleur est intense.

 

[...]

 

« Huit »

 

« Et bien tu voit ce n’était pas si difficile. Je te pardonne ! Allée va te doucher »

 

Rien que l'eau tiède me fait un mal de chien.

Et puis si je sort que va t'il me faire encore ?

 

 

 

 

Suite en dessous

Debout dans la baignoire je laisse couler l'eau le long de mon corps, le contact doux de cette eau ruisselant le long de mes fesses endolories me soulage peut à peut. Je ferme les yeux et songe a se voisin si fou et si sexy. Je l'avais mériter non ?! il à raison ! Non mais maintenant je lui donne raison je ne sais pas se qu'il m'arrive c'est chez moi, ma maison, mon corps il n'avais pas le droit...

 

Je me sens confuse, la poignée de la porte soudain descend

 

« Je t'avait dit de ne pas fermer à clef ! » Oh zut ! L'habitude ! Il va encore se mettre en colère.

 

Effrayer par ce qu'il allait de nouveau m’arriver je sort de la baignoire rapidement et enfile mon peignoir. Je cours ouvrir la porte et devant cette masse de muscle je baisse les yeux et balbutie :

 

« pardon j'ai l'habitude, je...

 

Je ne fini pas ma phrase il a poser son index sur ma bouche, mon cœur s’accélère.

 

Il m'arrache mon peignoir me prend par la main et me fait tourner.

 

Enfin face a lui, il me regarde, il souri.

 

Il me demande d'aller jusqu'à la chambre de mettre les habits qu'il à poser sur le lit et de m'attendre à genou devant celui ci.

 

Une fois dans la chambre je trouve sur le lit ma petite robe bleu, celle que je ne met qu'au bord de la plage, en effet elle a un décolleté plongeant et est très courte et légère, au moindre coup de vent elle s'envole et découvre mes cuisses.

 

Mais je trouve aussi un ensemble en dentelle bleu, celui que je ne trouvais plus après l'avoir mis dans ma panière a linge...il a été lavé et ne sens pas ma lessive...plus aucun doute il est rentrer chez moi..

 

Je m'installe donc a genou devant le lit et attend, le parquet au sol s'incruste peut a peut dans mes genou au fur et a mesure que le temps passe, et il en passe.

 

Après environ une heure d'attente, n’entendant plus rien a l'extérieur je décide de me lever, il doit être parti.Je n'entends aucun bruits.

Je me dirige donc au WC, une petite envie pressente m'avait en effet aider à prendre cette décision.

 

Me croyant seule je ne ferme pas la porte.

 

Une conversation indistincte me fait sursauté, je me dépêche de sortir sans tirer la chasse pour ne faire aucun bruit. Ce que je découvre alors me surprend.

 

Mon homme oui lui, mon mari depuis dix ans entrain de parler avec notre voisin...

 

« Alors, comment c'est passé l’après-midi ? A t-elle été bonne élève ? »

« Oui, mais je n'ai pas pu la voir beaucoup, elle est passer faire des courses »

Je les coupes

« Mais comment as tu pu lui laisser me faire ça?! »

Le voisin se retourne vers moi et sont regard me fige je baisse les yeux.Je me ressaisi et toise mon mari en attente d'une réponse.

« écoute chérie, ne te fâche pas, je suis sur que tu as apprécier, je voulais te faire découvrir de nouvelles choses...

«  De nouvelles choses ?! Et tu laisse une étranger rentrer chez nous et m’humilier ainsi, me frapper même ?!! » dit-je d'un ton incrédule en le coupant .

 

« Je voulais que tu apprenne à obéir ! Tu est ma femme mais je ne peut jamais te toucher, tu organise tout, il faut une certaine ambiance, un certain cadre, que la journée se soit dérouler dans certaine conditions, pour que je puisse oser espérer te toucher...Et encore sans compter tes migraines à répétitions... Je suis un homme j'ai des besoins !»

 

« Pourquoi n'en avons nous pas parler ? J'aurai pu comprendre, tu...

 

« Tu est coincé même quand tu daigne faire l'amour, il ne se passe rien, tu a changer, nous faisions l'amour sans arrêt, sans tabou,... ou est passer la femme que j'aime, malicieuse et joueuse, tu savait me charmer, me rendre fou, maintenant tu est froide et distante... »

 

« Je, je ne... Apprend moi, je t'aime ! »

 

« Je ne t'apprendrais rien, lui le fera. Accepte tu d’être son élève ? »

 

« ma soumise » précise le voisin 

 

je fait signe de la tête que j'accepte.

 

Il continu, « accepte tu d’être dévoué, d’obéir quelque soit l'ordre donné ? »

 

je regarde mon homme il attend ma réponse, je me sens obliger de dire oui, je l'aime je ne veut pas le perdre.

 

« oui »

 

« commence par m’appeler 'monsieur' »

 

« oui monsieur » je me sens honteuse mais tellement fier de faire plaisir a mon homme, je crois qu'une petite lumière au fond de moi c'est rallumé.

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